[C’est complique] Cette semaine, Lucile conseille Nathalie qui, apres une affaire a laquelle elle a cru, a le sentiment de ne point donner a toutes les hommes l’envie de s’engager avec elle.
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«C’est complique» est une sorte de courrier du c?ur moderne dans lequel vous racontez vos histoires –dans toute leur complexite– et ou une chroniqueuse vous repond. Cette chroniqueuse, c’est Lucile Bellan. Elle est journaliste: ni psy, ni medecin, ni gourou. Elle avait simplement l’envie de amener toutes vos problemes. Si vous voulez lui envoyer toutes vos histoires, vous pouvez ecrire a votre adresse: [email protected]
Vous pourrez aussi laisser votre message concernant notre boite vocale en appelant au 07 61 76 74 01 ou par Whatsapp au aussi 06. Lucile vous repondra prochainement dans «C’est complique, le podcast», dont vous pouvez retrouver des episodes ici.
Et Afin de retrouver nos chroniques precedentes, c’est via la.
J’ai 34 ans. J’ai vecu ma toute premiere grosse histoire d’amour quand j’avais Notre vingtaine. I l’origine, ca fut dur pour lui, car j’etais plutot attiree via quelqu’un d’autre. Il fut perseverant, comme dans les histoires a l’eau de rose, et ca a marche. On a vecu une jolie histoire qui possi?de dure quatre ans, avec parfois des hauts et des bas, mais toujours en etant complices. Elle a mis plusieurs mois a se finir. Je pensais meme un jour que l’on se remettrait ensemble, mais voili , Cela reste devenu papa.
C’est moi qui y ai mis fin. J’me sentais enfermee dans une routine. J’avais besoin d’explorer qui j’etais et de sortir une vie de couple. S’en paraissent suivies plusieurs annees de celibat.
J’ai fait des rencontres. J’ai a nouveau senti battre notre coeur, aime, et beaucoup de fois, me sens enfin restee sur ma faim. Correctement souvent, c’est l’autre personne qui, apres m’avoir seduite, renoncait enfin a aller plus loin. A chaque fois, j’ai mis du temps a passer a autre chose.
Je me qualifierais de solitaire, bien en etant entouree et sociable. Je fais nombre d’activites, suis investie dans mon boulot. Ces derniers temps, je sens en moi comme une tension, un besoin de construire prochainement un projet de vie avec quelqu’un.
Deux mois avant le confinement, j’ai rencontre quelqu’un sur une application de rencontre, une ancienne connaissance de fac. J’ai tres vite senti qu’on pouvait partager quelque chose de bien sur un temps libre long et j’appreciais beaucoup claque qu’a travers le humour, sa maniere d’etre, il pousse a explorer une autre personne en moi.
J’avais l’impression que les sentiments etaient partages.
J’etais meme etonnee qu’il prenne si rapidement des photos de moi, me propose de me conduire en visite chez une amie, pose de lui-meme claque qu’il ne danserait jamais (alors que je ne lui ai jamais que dalle reclame). aussi s’il etait rarement accessible durant ces mois, du coup.
On a passe le confinement chacun a demeure. J’ai ete une periode eprouvante ou J’me suis demande pourquoi je me retrouvais seule. J’avais besoin de sentir d’une tendresse de sa part, comprendre legerement mieux De quelle fai§on lui le vivait https://datingmentor.org/fr/crossdresser-heaven-review/, et profiter de ce moment pour apprendre a le connaitre davantage. Il a en gali?re pris un message. M’a dit que je lui accordais trop d’importance, que ca le rigidifiait et qu’il preferait en rester la.
On a un peu poursuivi les echanges. Cela m’a evoque que j’etais belle, intelligente, drole, enthousiaste, mais qu’il ne pouvait pas repondre a faire mes attentes, avait une idee bien precise de comment ca aurait fini. On m’a blessee. Du coup, il n’a jamais ete tres pertinent sur ses propres attentes et n’a pas demande les miennes. J’espere et j’apprehende de le croiser dans la rue, car je sais que nos lieux de travail sont copains. Apres notre premiere retrouve, c’etait au passage une de l’ensemble de ses craintes: «On est presque collegues», alors qu’en cinq ans, on ne s’est jamais croises.